Concernant la ressource en eau, la qualité des milieux aquatiques s’améliore en partie grâce à une réduction de la concentration des macropolluants (nitrates, orthophosphates), au même titre que celle des pesticides dans les cours d’eau. Toutefois, d’autres substances telles que les perturbateurs endocriniens, dont la connaissance des impacts s’est accrue ces dernières années, affectent les milieux aquatiques.

Une fois rejetées dans les eaux, ces substances chimiques et organiques provenant d’activités industrielles, agricoles ou domestiques sont à l’origine d’épisodes de pollutions ponctuels. C’est le cas en Bretagne depuis plusieurs années avec les épisodes de marées vertes.

Aucun progrès significatif ne se dessine en ce qui concerne la qualité chimique des eaux souterraines.

La 2nd partie du rapport est construite autour du concept des « 9 limites planétaires » où la contribution de la France est mise en parallèle avec neuf indicateurs parmi lesquels on retrouve l’acidification des océans ou encore l’érosion de la biodiversité.

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Source : OIEau